À regarder derrière on se fait mal au cou. 2016 va s’éteindre dans les brûlures d’estomac comme ses prédécesseurs. La mémoire fera son tri impitoyable et salvateur. Les morts de 2016 auront leur petit mot à date fixe. Pendant un an, deux ans et puis il faudra bien péguer la véronique de l’oubli parce qu’il y aura d’autres morts qui remplaceront les morts. De 2016, ici, chez nous qui ne remettons jamais de prix, de ré
Si les textes de Laurent sont toujours riches d’enseignements, ils recèlent parfois quelques pépites dont je suis à l’affut. Dans sa dernière production « Le rondeau du Tío Pepe », Laurent évoque le livre Aficíon écrit par Jean-Pierre Darracq et que j’ignorais complètement. Faute d’afición qu’il me faut réparer à tout prix ! Comme nous nous approchons de Noël et que ma belle-mère a l’habitude de m’offrir des T-shirts
Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas arrêté sur le bord du chemin à ‘Beigtanborda’ (ganadería El Palmeral, depuis quelques années propriété de la famille Fano). Il y a toujours un lot de vaches duquel s’extirpe un semental costaud, tout noir. Les lieux n’ont pas changé d’un piquet. L’herbe a la même couleur que les hivers anciens et le ciel de décembre, à la mi-journé
Les prix et récompenses de fin de saison n’ont jamais été pris avec grand sérieux (avec sérieux tout court d’ailleurs) par les aficionados qui composent l’équipe aujourd’hui endormie de Campos y Ruedos. Pourtant, au détour de nos maintenant rares lectures concernant le monde taurin, nous apprenions la semaine dernière que l’honorable F.S.T.F. (présidée depuis 2014 par Dominique Valmary) avait décerné son prix Tío Pep
Un négatif avec du gris a-t-il dit. L’étalonnage d’une bande en trois, six, neuf, douze, quinze secondes. On en refait une : douze secondes en poussant le grade de 2,5 à 3. Puis l’épreuve : douze secondes, une minute trente de révélateur, un passage dans l’eau, six minutes de fix’, cinq minutes de rinçage. « C’est grisouille, non ? Il faisait gris ce jour-là ? » peut-être : Adolfo