Sans les avoir lues, j’imagine que les reseñas concernant la Journée Taurine d’Orthez n’inclineront pas à l’optimisme et il sera difficile de les contredire. Les novillos de El Retamar, s’ils ont affiché une réelle noblesse en troisième tiers, n’ont que peu ou pas brillé par leur bravoure aux piques à l’exception du quatrième remarquablement entrepris par Gabin Rehabi à la base du morrillo. Le manque de force et de p
La Feria de la Madeleine de Mont de Marsan, organisée par Marie Sara et par un hautain monsieur à lunettes qui a une ceinture avec des fers d’élevages dessus, a débuté hier avec une corrida d’Alcurrúcen au terme de laquelle a triomphé le péruvien Roca Rey, comme d’habitude. Et comme d’habitude aussi, il est bien difficile ce matin de trouver sur les « médias » taurins autre chose que la dithyrambe coutumière concerna
«Un coup de dés n’abolira jamais le hasard » (Mallarmé) Hier soir dans la chaleur douce d’un été pas trop chaud Ludovic Pautier y pensait, en parlait, et a imaginé ce torero, sans doute un Francisco : Il a pris sa muleta dans la main gauche… Et il a fait chier le hasard… Ha cargado la suerte de verdad. Le hasard n’existe pas. Sur la photographie ce n’est pas une naturelle, mais c’est un Francisco…  
Les Toros de Valdellán se sont, avec mollesse, ennuyés à Tyrosse. Nous ne serons être d’accord avec eux que sur cet unique point. Seul un quarteron de Yankees a trouvé là l’occasion d’exprimer avec force « yeeeeeh » et moult « fucking » sa découverte de la corrida dont le climax a été pour l’un des fils de la famille le coup de patte d’un toro dans une montera posée au sol et qui déclencha la