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En guise de préliminaire pour une série qui peut-être verra le jour… ou pas. Il faut le savoir : il pleut souvent sur le Campo Charro. L’hiver peut y être très rude et très blanc et peser lourd sur les milliers de chênes verts qui en ont vu d’autres. Mais c’était le printemps et flottait une bruine grisâtre, comme un rideau voilé, ce jour de mai sur Terrones. ’Chichi’ était absente. Les pistes détrempées ne fac

« Il était temps que janvier fît place à février. Janvier est de très loin le plus saumâtre, le plus grumeleux, le moins pétillant de l’année. Les plus sous-doués d’entre vous auront remarqué que janvier débute le premier. Je veux dire que ce n’est pas moi qui ai commencé. Et qu’est-ce que le premier janvier, sinon le jour honni entre tous où des brassées d’imbéciles joviaux se jettent sur leur téléphone pour vous ra

En août 2014, Pepe Luis Vargas a annoncé qu’il ne lui restait qu’une année à vivre. 365 jours, quelques milliards de secondes, à peine. Il n’a pas déclaré être touché par une « longue maladie » ou par un « mal irrémédiable » dont tout le monde a pris l’habitude de taire le nom. C’est atrocement difficile de nommer la mort et de la regarder venir. Pepe Luis Vargas a écrit cancer. Pepe Luis Vargas a écrit qu’il n’avait

Noël par Reiser… bonnes fêtes à tous.