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Il y a ceux qui voudraient écrire comme Proust, et qui ne le peuvent pas. Ils vendent certes quelques livres, mais des Proust il n’y en a qu’un seul et, longtemps, les mauvais copieurs pourront se lever de bonne heure. Comme il n’y a qu’un seul Proust, il n’y a, aussi, qu’un seul Paco Ojeda. Juan Leal a beau admirer, copier et, surtout, singer le maestro, il n’arrivera jamais

« Parce que j’aime la viande rouge… — Vous vous foutez de moi, là ? Pourquoi vous faites des photos de toros morts ? — Parce que j’aime bien ça. — Vous êtes journaliste ? — Non. — Qu’est-ce que vous faites là, alors ? — Ben je suis accrédité pour faire des photographies. — Vous êtes journaliste, alors. — Non, c’est pas mon job. Je fais juste des photographies. — Vous faites le malin, là ! Vous savez pourquoi je vous

Il y a quelques années — plutôt plus que moins —, le magazine Stade 2 était venu enquêter sur le succès grandissant du club de basket du village confetti d’Eyres-Moncube, en Chalosse, à dix pieds de maïs d’Hagetmau. Le reportage s’ouvrait sur une gueule joufflue, mal ridée, mais que la vie connaissait depuis un sacré bail et dont le scintillant des yeux trahissait autant la curiosité à l’égard de la caméra que l’envi

Alors que se multiplient les sorties — souvent très décevantes cette année — des astados d’Adolfo Martín Andrés, qui, depuis ses débuts, a gonflé de manière inquiétante le nombre de ses vaches, d’autres ganaderos peinent à faire « lidier » ne serait-ce que des novillos. C’est le cas, par exemple, de Miguel Zaballos qui partage quelques similitudes génétiques avec les toros de « Los Alijares » (origine Saltillo) et qu