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Laurent Larrieu

Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXIX)

Chamusca, au nord de Santarém, en plein Ribatejo, est un gros village étiré en bord de Tage comme s’il lui courait à côté pour l’encourager. C’est à Chamusca qu’est né, en 1877, Norberto de Vasconcellos Mascarenhas Pedroso, et c’est à Chamusca qu’il créa et installa une ganadería de toros, en 1911. En 1904, ledit Norberto épouse une certaine Isabel Mota Infante da Câmara, fille d’Emílio Infante da Câmara, ganadero de
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXVIII)

À « Torrinha », ‘Chinarra’ et ses sœurs allèrent compléter le troupeau des vieilles vaches, celles dont les origines n’avaient pas grand-chose à voir avec les Parladé de Pinto Barreiros. Les duchesses veragüeñas partageaient ainsi les terres sablonneuses d’un petit paradis avec les Pinto Barreiros, donc, mais aussi certainement avec quelques anciennes portugaises héritées du père de David Godinho, Manuel Ribeiro Tell
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXVII)

L’histoire de ‘Chinarra’ reste une histoire de campo. En ce sens, elle ne trouve sa vérité – et sa beauté – que dans la bouche de ceux qui l’ont vécue et racontée et il n’appartient à ceux qui l’entendent que d’y croire… ou pas. Il est difficile de s’imaginer la genèse d’une ganadería – en l’occurrence celle de Fernando Palha – construite exclusivement sur l’enfantement d’une seule vache même si l’éleveur n’a j
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXVII)

L’histoire de ‘Chinarra’ reste une histoire de campo. En ce sens, elle ne trouve sa vérité — et sa beauté — que dans la bouche de ceux qui l’ont vécue et racontée, et il n’appartient à ceux qui l’entendent que d’y croire… ou pas. Il est difficile de s’imaginer la genèse d’une ganadería — en l’occurrence celle de Fernando Palha — construite exclusivement sur l’enfantement d’une seule vache, même si l’éleveur n’a jamai
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXVI)

Barroca en était là quand, soudain, ce proche avenir qui allait engloutir son passé l’arracha à ses atermoiements de vieil homme par l’entremise d’un épais nuage de poussière que le grabuge d’une rage délirante semblait soulever vers le ciel dégagé. Les sacrifiées ne s’en laissaient pas compter. Fût-ce l’anxiété de sentir le manège des nombreux invités, la chaleur lourde de l’après-midi ou le pressentiment de la fin
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