Il y a, dans l’idée d’aller au campo — quand aucune obligation organisationnelle ne vous guide ni ne vous oblige —, la saveur pétillante de l’inconnu, le trouble léger de l’excitation de s’imaginer les coteaux peints de fleurs, les chênes-verts centenaires, les tronches en biais, les chiens pouilleux et les toros sublimes. Au détour d’une de ces innombrables pages Web sur laquelle mon regard s’était attardé un soir d
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