Le comptoir du Café Gaucho, à Pampelune, est une « querencia » naturelle, un refuge que l’on ne quitte qu’à regret et pour y revenir à la première occasion venue. Quelle que soit la saison, le jour comme le soir, j’aime m’y accouder, tout près de son angle, face à la porte qui donne sur la Place du Château. De ce « sitio » je regarde le ciel navarrais changer au fil des heures. Dès lors que l&
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