D’abord, comment va-t-il ? Il va très bien. Il est heureux ? Il est libre. C’est différent ? C’est l’étage au dessus. Félicien Marceau Le fils de Joaquín Vidal me confiait un jour à quel point son père lui avait appris à se méfier des engouements de foule, unanimistes et radicaux. Nous étions chez Del Diego à siroter un cocktail. Nous parlions de José Tomás, version d’après son retour, version
A Cabanillas de la Sierra, la tenancière du bar de la rue principale explique qu’elle a mal au dos. Elle y voit un signe du temps chagrin qui enturbanne les sommets proches de la Sierra de Guadarrama. Elle s’étonne que l’on débarque de France pour la seule raison d’aller voir des toros au campo. Mais elle sourit et nous dit que les Guzmán sont « buena gente« . A les observer entrer dans la piè
C’est Chapu qui nous fait l’amitié de partager ici ce texte… A Rodolfo Rodríguez le llaman ‘El Pana’ porque se ganaba la vida de panadero en las tahonas de Apizaco (México). Tuvo un amo torerillo que lo metió a la cuadrilla de niños y así, creciendo entre vacas misioneras que cogían hasta los chistes, entre hambre y revolcones se hizo matador. También fue paracaidista y sepulturero. A me
Aire-sur-l’Adour – Dimanche 01 mai 2016 3 Novillos de Valdellán (1, 2 et 6) (présentation dans l’esprit de l’élevage : des types différents entre l’avacado et plus fin dernier et le costaud et musculeux second. Tous noirs) et 3 novillos de Saltillo (3, 4, 5) (le 3 fut « asaltillissime », un rat léger, fin, vif et degollado au possible. Les deux autres furent plus dans la ligne Santa Colo