Mardi 22 juillet, les deux journaux régionaux de Valence, que sont le Levante (tendance gauche) et Las Provincias (tendance droite), relaient l’information selon laquelle la députée Esther López, du groupe Esquerra unida (équivalent du parti communiste), exige l’interdiction des festivités de bous al carrer, et soumettra cette demande aux Corts (l’assemblée élue de la communauté de Valence). En Espagne, les toros son
Et d’abord le souvenir d’un grand toro de Miura « lidié » à Pamplona en 1999, ce ‘Bombito’ dont la mémoire ne veut pas se défaire. Ce sont nos compañeros du site Por las rutas del toro qui racontent, non pas les dix minutes de pique, non pas la castagne reçu par ce toro au campo, mais son comportement revêche — et qui ne présageait rien de bon, ou alors si — lors de l’encierrillo nocturne. Et puis,
Le hasard et le bonheur des rencontres — en l’occurrence la rencontre avec la librairie Torcatis et l’invitation de M. et Mme Costes — offrent des horizons nouveaux et des envies de projets différents. Depuis bientôt un an, l’équipe de Campos y Ruedos prépare une exposition photographique, intitulée « Analectes taurines », qui sera présentée dans le cadre du festival Off, au même moment que Visa pou
Pamplona adore se regarder le nombril comme s’il était le centre du monde pendant quelques jours. Les écrans géants disséminés çà et là, et ici, dans le vieux centre, l’aident à s’admirer dans ce miroir d’eau sale, de déchets et d’odeurs de pisse d’une nuit qui ne s’achève pas. Ridée, liposucée, vieillie, botoxée, dépassée par la foule et l’accent australien, Pamplona résiste encore bien, cougar lubrique qui n’