Chamonix, aiguille du Midi, 6 mars 2014 Ça ne rend rien en photo, même en se basant sur la ville tapie au fond de la vallée. Le passage est large, il n’impose pas les virages dans un couloir étroit. C’est comme un immense toboggan, large et lisse. Pas verglacé, mais la neige semble très dure. Au bout des deux, trois ou quatre cents mètres de descente qui nous attendent, on ne voit rien. C’est la fal
Orthez, c’est fini… Nous venons de l’apprendre. À l’occasion d’un changement de municipalité, la C.T.E.M. a été débarquée dans sa totalité et la gestion directe probablement abandonnée. L’aventure s’arrête ici… car c’en fut une d’aventure que de donner les clefs à des aficionados pour les laisser libres d’aller à contre-courant défricher ou redécouvrir des territo
Chaque toro est un livre ouvert. Livre d’art, calligraphie du feu, livre de savoir, livre d’avenir autant que du passé qu’il porte en lui. Le toro : enjeu littéraire ! Trois, quatre signes qui fondent un monde, des angoisses et des espoirs. Le marquage au fer rouge des animaux remonte à la nuit des temps, semble-t-il, ou peut-être moins loin mais quand même. Il se raconte que Néron marquait ainsi ses chevaux, mais Né
Hier, samedi 29 mars, la finca « La Tejería » de Miguel Reta était en ébullition, ou mieux, en feu. Pour la première fois depuis son entrée à la Unión de criadores de toros de lidia, en 2010, le ganadero de casta Navarra marquait ses produits du « U » de la Unión. Nous reviendrons sur cette journée campera inoubliable dans les semaines à venir.
Au gré de nos lectures printanières 2.0, nous vous recommandons la fréquentation d’un nouveau blog — apparu en décembre 2013 — dénommé La Esencia del toro. Les auteurs, Isma Sánchez (photographies) et Jorge Rodríguez (textes), s’y intéressent surtout au campo, et certaines photographies (on préférera oublier les quelques clichés mélangeant couleurs et noir et blanc…) donnent tout simplement envie de trave