À quelques jours de la sortie du prochain film de Jim Jarmusch, il ne me semble pas indélicat de lui emprunter le titre d’un film pour commémorer avec un peu de retard l’année chinoise nouvelle qui s’annonce. Nous ne sommes pas très bons en vœux de nouvelle année, comme vous avez pu le constater, mais nous faisons un effort pour l’occasion, car c’est l’année du cheval… Mais le Chin
« Les végétariens sont les plus grands hérétiques, car ils refusent de se glisser, par une communion solennelle et carnivore, dans ce moment subtil, ce passage de trépas à vie que tout hamburger sublime : la prépourriture. « (…) Toute notre existence se situe, comme la viande, dans cet intervalle, ce petit espace comestible de fraîcheur, entre la mort et la pourriture. Plus frais que la fraîcheur, c’est la vie. « (…)
Le respect est très à la mode chez les taurins en ce moment et surtout dans la bouche du Juli. Respect et pleurnicheries de gonzesses. C’est pas incompatible. Manzanita pleurniche de ne pas aller à Séville, qu’il aime tant, qui l’aime tant. Séville : ses arènes, son public, ses toreros, ses toritos et ses billets bien chichement distribués, mais quand même… Séville quoi, merde ! Manzanita lui est très triste de ne pa
Toutes les fins de semaine — le rythme peut être plus aléatoire —, vous pouvez retrouver, en cliquant dans la rubrique « Fernando Palha », l’histoire de cette ganadería pour laquelle nous éprouvons une tendresse et une estime toutes particulières. Bonne lecture.