Y a través de las ganaderías, Hubo un aire de voces secretas Que gritaban a toros celestes, Mayorales de pálida niebla. Garcia Lorca, « La sangre derramada » Mai 2015, finca Wellington, ganaderia de Baltasar Iban : les élèves de l’école taurine de Madrid sont venus tienter les vaches que la ganadera leur a mises de côté. L’accord tacite pour une corrida à San Isidro est d’organiser une tienta pour l
Alors que les Sanfermines attaquent la descente finale de leur cycle, voici quelques clichés de certains toros qui ont été ou seront lidiés durant les corridas de cette longue semaine. Les toros de San Fermín sont toujours un spectacle et une joie pour les yeux de l’aficionado.
9 juillet 2016 : 3 coups de corne, 3 décès. Le matador de toros Victor Barrio à Teruel, un jeune à Pedreguer et un homme de 65 ans à Fuentesauco. Matan los toros.
Sylvain Fraysse expose à Céret, une tauromachie, ou plus justement une approche, une évocation, car dans ce travail, la tauromachie n’est qu’un prétexte. N’allez pas en conclure à une quelconque facilité, ou futilité. Le prétexte en réalité, ici comme dans d’autres travaux, est un outil pour creuser, se débarrasser du vernis et de la facilité de l’illustration, du premier degré. Dans cette exposition cérétane le seco
Il y a aujourd’hui 55 ans, il faisait beau, et le docteur Destouches s’en allait… Dans son Voyage au bout de la nuit, la tauromachie n’est pas évoquée, sauf une fois et d’une curieuse façon. Et puis Ferdinand aurait sans doute été un anti taurin farouche. « Rien ne stimule les femmes éméchées comme la douleur des bêtes, on n’a pas toujours des taureaux sous la main. » — Louis-Ferdinand Céline in Voyage au bout