Le front appuyé sur l’acier froid d’un montant de la barrière, je m’efforce d’évaluer les distances, de m’imaginer les itinéraires et de calculer les temps de route. La province de Teruel, ce n’est pas la porte à côté. Je me dis qu’il va falloir partir de plus en plus tôt les samedis après-midi, aguanter le « tu pars déjà », encaisser le « tu reviens à quelle heure ? », toréer les regards réprobateurs, et leur
« Tel fut, sans doute, le motif profond de l’oeuvre de James Salter, qui l’a souvent fait comparer à Fitzgerald : l’écart entre la vie telle qu’elle devrait être et la réalité, le sentiment d’inaccomplissement qui est l’essence de l’expérience humaine, et les échappatoires, non pas factices mais fugitives, que constituent l’amour, l’hédonisme, ou la guerre, comme
Don Eduardo Miura Ganadería de Miura Criador del toro ‘Islero’ que mató a Manolete En algún lugar de España C’est l’adresse qui était aposée au dos d’une lettre destinée à don Eduardo Miura. La lettre est arrivée à destination raconte Alfonso Navalón en 1965 dans la revue El Ruedo.
Comme vous pourrez le remarquer sur la barre de droite de ce blog, nous venons d’intégrer un lien direct vers la page d’abonnement à la « Page taurine de Jacques Durand » élaborée par l’ami Bruno Doan des éditions Atelier Baie. Durand dans le marbre de Campos y Ruedos ! Vous le savez, il y a plein de choses dans ce minuscule monde taurin qui nous chagrinent, nous agacent, nous mettent hors de nous m