« Tel fut, sans doute, le motif profond de l’oeuvre de James Salter, qui l’a souvent fait comparer à Fitzgerald : l’écart entre la vie telle qu’elle devrait être et la réalité, le sentiment d’inaccomplissement qui est l’essence de l’expérience humaine, et les échappatoires, non pas factices mais fugitives, que constituent l’amour, l’hédonisme, ou la guerre, comme
Don Eduardo Miura Ganadería de Miura Criador del toro ‘Islero’ que mató a Manolete En algún lugar de España C’est l’adresse qui était aposée au dos d’une lettre destinée à don Eduardo Miura. La lettre est arrivée à destination raconte Alfonso Navalón en 1965 dans la revue El Ruedo.
Comme vous pourrez le remarquer sur la barre de droite de ce blog, nous venons d’intégrer un lien direct vers la page d’abonnement à la « Page taurine de Jacques Durand » élaborée par l’ami Bruno Doan des éditions Atelier Baie. Durand dans le marbre de Campos y Ruedos ! Vous le savez, il y a plein de choses dans ce minuscule monde taurin qui nous chagrinent, nous agacent, nous mettent hors de nous m
Dans la ménagerie infâme de nos vices, Il en est un de plus laid, plus méchant, plus immonde ! Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait volontiers de la terre un débris Et dans un bâillement avalerait le monde ; C’est l’Ennui ! Pour le dire d’emblée et sans nuance, la course de Saltillo (devise et fers de Moreno Silva cette année encore) fut dans l’ensemble une man