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Frédéric Bartholin

En passant par la Gascogne avec mes sabots

Le week end de Pentecôte a ceci de commun avec un toro encasté et mobile qu’il est prometteur mais a tendance à vous déborder si jamais vous n’écrivez pas à temps… Evidemment, à l’heure d’aller voir des cornus, l’univers à l’heure de la célébration de la langue de feu de l’Esprit Saint se résume à deux possibilités : Vic et Madrid. Va pour Vic-Fezensac, le Gers toscan et les amis trop rares (même si certains encore p
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¡¡ Muchocoraje !!

Les Sévillanes papotent entre elles, taillent des costards, se plaignent, ragotent, ce qui a le mérite de les rendre plus humaines car une fois le traje de Gitana enfilé et la feria atteinte, c’est autre chose. La langue que l’on parle à Séville et ses environs est riche de particularités qui la rendent charmante ou inintelligible. L’un n’exclue pas l’autre. L’une de ces particularités réside dans la façon de prononc
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Sevilla, Morante y su Puta Madre

La Puta Madre À Séville même la comptabilité revêt des aspects ésotériques qui nous échappent. Bruna évoquait certains épisodes de sinpa* dans le restaurant qui l’emploie : – Y algún día, fui atrás de una pareja de Chinos porque faltaban 5 centavos… – 5 centavos ? – Si, si… 5 centavos ! Que yo después hago la caja con la entrada, la salida y la puta madre !** La Puta Madre consiste
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Que d’émotions !

On le sait depuis 1789, le 14 juillet : « rien ». Cette année nous avons pris trois mois d’avance. Après la commotion de joie qui secoua la Séville taurine la veille, le retour à la normale fut résigné quoique un peu brutal tout de même. Retour des figures et des toros « Domé », retour à la modernité servile et sans émotion, à la médiocrité, la fadeur, la faiblesse. Lot de Nuñez del Cuvillo tout en nuances de n
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Le percepteur volant

« But you stand there so nice in your blizzard of ice Oh please, let me come into the storm » Leonard Cohen – One of us cannot be wrong Que l’on me permette d’évoquer ici la première corrida de Victorino Martin à Séville en avril 1996, le sorcier de Galapagar, El Tato, mon père et moi même effectuions ce jours là nos présentations respectives à la Maestranza : Ortega Cano et Pépin Liria complétaient
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