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Frédéric Bartholin

Que d’émotions !

On le sait depuis 1789, le 14 juillet : « rien ». Cette année nous avons pris trois mois d’avance. Après la commotion de joie qui secoua la Séville taurine la veille, le retour à la normale fut résigné quoique un peu brutal tout de même. Retour des figures et des toros « Domé », retour à la modernité servile et sans émotion, à la médiocrité, la fadeur, la faiblesse. Lot de Nuñez del Cuvillo tout en nuances de n
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Le percepteur volant

« But you stand there so nice in your blizzard of ice Oh please, let me come into the storm » Leonard Cohen – One of us cannot be wrong Que l’on me permette d’évoquer ici la première corrida de Victorino Martin à Séville en avril 1996, le sorcier de Galapagar, El Tato, mon père et moi même effectuions ce jours là nos présentations respectives à la Maestranza : Ortega Cano et Pépin Liria complétaient
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El Ahorrador

Lundi soir, illumination de la feria et ouverture des casetas : c’est la première fois que je suis à Séville lors de la feria, la disparition des corridas d’élevages un peu intéressants en pré-feria ayant eu raison de mes maigres habitudes. En 2006, la pré-feria proposait des corridas de Palha, Cuadri, Cebada Gago et Victorino Martin. Depuis lors, Victorino est passé en « deuxième semaine » comme on dit a
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Pâques Arlésienne

La saison s’annonce passionnante, tout le monde est d’accord là-dessus : les jeunes frappent à la porte derrière laquelle les figures fument le cigare et boivent du sherry dans de profonds fauteuils en cuir. La porte cédera et d’ici quelques mois nous verrons bien qui se prélassera dans les vapeurs d’alcools et les canapés club. La saison s’annonce passionnante donc car après avoir photo
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Le froid se lève aussi

Si la saison prétend aujourd’hui débuter à Olivenza ou peut-être encore ailleurs, ma modeste opinion juge que c’est bel et bien à Valencia que l’on peut commencer à parler de choses sérieuses. Mon père me disait que cela commençait dans le « Levant », Castellón ou Valence, selon les calculs alambiqués relatifs à la commémoration de la résurrection du Christ année après année. Tout cela était cohérent : le soleil se l
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