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François Bruschet

Nozolino

Paulo Nozolino est un photographe Portugais, un photographe auteur, que nous goutons particulièrement ici à Campos. Une amie photographe, qui fut récemment son élève, nous a permis de mettre la main sur le texte qui suit, dont vous pourrez trouver la publication sur le site de la MEP. C’est un texte intimiste et précieux sur la pratique de la photographie. Il est à méditer, comme peut être à méditer, dans un autre ge
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Epée

… Malgré les siècles, malgré cette putain de science, elle [l’épée] reste la clé qui ouvre et qui ferme la porte du succès, dans toutes les arènes du monde, parce que c’est en elle que vit le mystère le plus ardemment recherché depuis des siècle : la trempe. Notre spectacle a évolué dans tous les sens : le toro a changé; le toreo n’est plus le même, le costume de lumière, mais aussi les capes, les muletas, tous les a
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Le toreo, une mafia…

Nous traduisons aujourd’hui un article d’Antonio Lorca, critique taurin du quotidien El País : El toreo, una mafia sin competencia. C’est sans concession, clairvoyant, peut-être discutable sur quelques points, très peu, mais surtout ça arrive très tard. Antonio Lorca, après la disparition de Joaquín Vidal, a grandement diminué la crédibilité et l’audience de la section taurine du quotidien. Il suffira de se souvenir
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Bagatelles pour un massacre

« Tout ce qui ne ment pas est honni, traqué, chassé, vomi de haut, haï à mort. C’est le grand secret que l’on cache comment l’on pourrit jour par jour, de plus en plus ingénieusement ». Louis-Ferdinand Céline. Ça aurait pu s’appeler Guignol’s band aussi… Le voilà dans de beaux draps notre Bartholin. C’est que sa tête serait mise à prix, les menaces à peine voilées après son article peu enthousiaste sur la féria de Pa
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Hommage à El Loco

Dans un mas en Camargue, Jacques Durand s’avance en piste vers Rodolfo Rodriguez «El Pana» et lui lit quelques lignes. Nous étions en octobre, ou en novembre, et El Pana ne passerait pas l’hiver. Evidemment personne ne s’en doutait. Le texte lu par Jacques était tiré d’un recueil de l’écrivain Norman Mailer intitulé «L’Amérique» (Editions Les Belles lettres). Le morceau choisi provenait du texte : Hommage à El Loco.
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