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Frédéric Bartholin

Céret 2022

2022, cent ans après l’inauguration des arènes et trente-cinq ans après la première feria organisée par l’ADAC, Céret demeure cette forteresse taurine, source de divisions fortes d’opinions mais qui, à l’aune du nombre d’amis des deux côtés – avec lesquels on n’a jamais le temps de vraiment converser – présents, fait consensus au sein d’une partie de l’afici
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Allo Allo, ici le Tita’Vic

Allo Allo, avant cette corrida, je vais demander d’applaudir les médecins, allo allo, maintenant le maire du bled où on a mis nos toros en attendant, allo allo, faudrait pas oublier la mère de notre ami Gérard qui nous a fait les sandwiches quand on est allé au campo, applaudissez applaudissez ! Allo Allo, l’an dernier déjà c’était sympa, je prenais le micro avec les proprios des toros alors on va d
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Chroniques perdues : Bribes sévillanes

La lune nous inflige parfois des Pâques tardives et des ferias d’avril en mai, les circonstances des deux dernières années ont fait plus fort puisqu’en lieu et place du week-end de la San Miguel, Séville a enfin rouvert la Maestranza pour un cycle de quatorze spectacles à la fin du mois de septembre. Il est aussi illusoire de penser que la vie reprendra son cours « comme avant » que d’imaginer en 19
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Morante ou le naufrageur du Port

Morante et 6 Prieto au Puerto : rêverie celeste, contemplation templée de la chute et impact apaisé. A tête reposée, froide et fort de l’évidence du compte rendu, nombreux sont les échos laissant deviner l’ombre d’une certaine satisfaction suite à l’échec « sans palliatifs » de la corrida de Morante au Puerto de Santa Maria. Échos de la part de certains absents : aficionados prudents, lucides ou désabusés, de conjoin
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Chroniques perdues : Céret 2021

Mi-juillet 2020, à de rares exceptions, nous n’avions pas vu le moindre toro se faire occire à coups d’épée, un an plus tard en revanche, à la faveur de Pâques tardives, de Pentecôtes repoussées, l’aficionado a déjà pu, entre autres, rouler sa bosse de Nîmes à Vic (prouesse d’ubiquité !) et d’Arles à Céret. Pas une ligne des trois premières, c’est désespérant, mais si l’on renonce
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