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Le débarquement d’un lot de toros de combat est un exercice qui nécessite trois éléments essentiels : de la voix, de la technique et… de l’eau. À ce jeu — mais ce n’est un jeu ni pour les organisateurs, ni pour l’éleveur, ni pour les gardiens des corrals — la maîtrise affichée par l’équipe des corrals de Dax (David Roca en tête) — où sont débarqués depuis quelques années les toros

Les fêtes de San Fermín de Pamplona donnent l’occasion aux grands médias espagnols et internationaux de sacrifier quelques mots à la passion taurine. L’encierro y consomme plus de lettres que la corrida, c’est une évidence — et les images gores d’encornés l’emportent toujours sur la technique et l’esthétique de cette course, malheureusement —, mais ne soyons pas chiches et goûtons

Les Zaballos ont de toutes petites couilles, c’est la marque du Saltillo. Petites couilles, certes, mais ce sont des « couillus » les Zaballos. A Cabeza de Diego Gómez, les utreros patientent dans un cercado ouvert aux vents qu’une arène veuille bien d’eux. Aux dires du fringant ganadero, ça ne devrait pas arriver cette année. Dans un sourire sincère qui lui fait de petits yeux brillants, Miguel Zaballos a décidé qu’

Le 27 juin 2015, le fer du marquis d’Albaserrada sortira en corrida de toros à Rozas de Puerto Real. Et c’est où ça ? On se croirait plonger dans le « España oculta » de Cristina García Rodero ou le « Lances de Aldea » de Cristóbal Hara. Même Google maps a du mal à trouver. Rozas de Puerto Real est un pueblo au nord-ouest de Madrid et d’après le site internet du village, car oui il existe un site internet de Rozas de