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Laurent Larrieu

Même à Séville

Le street art est par principe un art de l’éphémère. Les collages napolitains d’Ernest Pignon Ernest ont sans doute été emportés par la pluie, les intempéries et le temps qui passe, depuis bien longtemps. À Nîmes, un collage en hommage à Lou Reed offert par un inconnu à un mur aveugle, quelques semaines après sa disparition, fut très rapidement karchérisé par les services municipaux… À peine le temps d’en faire
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Aire, 1er mai 2015

Les arènes Maurice-Lauche d’Aire-sur-l’Adour proposent cette année, par l’entremise d’une commission taurine enfin seule aux commandes, un programme ganadero de haute volée, pour ne pas écrire le meilleur du Sud-Ouest. En guise d’apéritif et en attendant les Fraile de juin, les aficionados pourront se délecter de la novillada concours de Santa Coloma du 1er mai. Renseignements : Toros-ai
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Le tercio de varas

Antonio Purroy nous fait parvenir ce texte sur la nécessité de rendre au tercio de piques sa grandeur ; texte cosigné par d’illustres noms de la tauromachie. « Pourquoi la phase des piques est-elle défectueuse ? C’est une question que se posent beaucoup d’aficionados. Et depuis quand en est-il ainsi ? Il faudrait sans doute revenir à l’époque où le caparaçon n’existait pas, autrement dit à une époque antérieure
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“Viejas castas, nuevos encastes”, par Antonio Purroy

Nous poursuivons nos échanges sur le toro de lidia avec Antonio Purroy. Cette fois, nous lui avons demandé s’il percevait lui aussi — à l’image d’autres aficionados — la dichotomie qui existait entre la variété annoncée par plusieurs études, dont celle du docteur Cañón, du nombre d’encastes (pas moins de 28) et la réalité de ce qui était présenté dans les ruedos au fil des temporadas. Para hab
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Dolores, Vic

Étienne Barbazan nous a fait parvenir ces superbes photographies d’une course absolument effrayante de Dña. Dolores Aguirre Ybarra : cinq cinqueños et un cuatreño. Voici donc la corrida qui foulera la piste vicoise pour la prochaine Pentecôte. Il est évidemment impossible de ne pas évoquer 2014, se souvenir d’Alberto Lamelas, de ‘Cantinillo” et, aussi, de Gabin Rehabi. Il est bien difficile de ne pas se projeter, rêv
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