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Frédéric Bartholin

L’extravagante prophétie

J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. … et le sentiment d’avoir tant vanté  le toreo d’Urdiales que le vertige de la page blanche le dispute à la terreur du radotage. Une chose est sûre, jamais nous ne l’avions vu passer la Grande Porte Hispano-Mauresque de la rue d’Álcala. À force d’espérer ce moment, l’encre s’est figée et l’espérance devenue réalité a dévasté l’inspiration. Diego Urdiales avait-il lui-m
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Dimanche de rentrée

La Goyesque d’Arles a rempli les arènes samedi, les « toreros français » sont sortis en triomphe et un toro a eu la Vuelta al Ruedo, « combien de piques ? » Rires dans l’assistance. Nous n’y étions pas, peu importe. Le hashtag #aficionalostoros sous une photo Instagram illustrant le sable peint m’a fait sourire. Dimanche après-midi depuis l’ombre les gradins du soleil semblaient déserts.
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L’éternité et Diego

Tudo era apenas uma brincadeira E foi crescendo, crescendo, me absorvendo E de repente eu me vi assim: completamente seu Vi a minha força amarrada no seu passo Vi que sem você não tem caminho, eu não me acho Vi um grande amor gritar dentro de mim Como eu sonhei um dia Une nuit, deux corridas à Bilbao et trois lignes pour mémoire. Si l’espace m’était compté, je ne parlerais que de Diego Urdiales, pharaoniq
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Toponymie Gitane

« En passant par le Campo Charro, va chez Hoyo de la Gitana pour faire des photos de mes Toros ». En trois propositions, deux lignes et une phrase, Michel Bouisseren nous amène à soulever bien des sujets, prenons à rebours. Il m’est arrivé de poser les questions administratives à des organisateurs et des professionnels et invariablement d’oublier rapidement la réponse. À qui les toros appartiennent-ils au
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L’ingratitude est une faiblesse

La corrida de Victorino Martin mérite-t-elle de passer un week-end entier à Madrid sans plus de toros à se mettre sous la dent que ceux épointés du rejón ? Un week-end pour une corrida, c’est finalement l’anti-feria française, stakhanoviste et sans répit, l’occasion rêvée de se coucher tôt une fois, faire une sieste et visiter l’exposition Brassaï sur le Paseo de Recoletos. San Isidro clôturai
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