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Frédéric Bartholin

Pâques discrète

Parfois on se fait avoir. Un brin complice, c’est ainsi et cela fait plaisir aux copains narquois. À la publication des cartels, on ne pouvait que saluer l’initiative de l’empresa de ne pas contribuer à l’inflation de l’immobilier arlésien après avoir fignolé un machin aux petits oignons, à base de Ponce, de Garcigrande, de retour que t’y crois pas et pour tout argument vaguement s
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Poema de Natal

Poema de Natal (Vinicius de Moraes) Para isso fomos feitos: Para lembrar e ser lembrados Para chorar e fazer chorar Para enterrar os nossos mortos — Por isso temos braços longos para os adeuses Mãos para colher o que foi dado Dedos para cavar a terra. Assim será nossa vida: Uma tarde sempre a esquecer Uma estrela a se apagar na treva Um caminho entre dois túmulos — Por isso precisamos velar Falar baixo, pisar leve, v
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L’extravagante prophétie

J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. … et le sentiment d’avoir tant vanté  le toreo d’Urdiales que le vertige de la page blanche le dispute à la terreur du radotage. Une chose est sûre, jamais nous ne l’avions vu passer la Grande Porte Hispano-Mauresque de la rue d’Álcala. À force d’espérer ce moment, l’encre s’est figée et l’espérance devenue réalité a dévasté l’inspiration. Diego Urdiales avait-il lui-m
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Dimanche de rentrée

La Goyesque d’Arles a rempli les arènes samedi, les « toreros français » sont sortis en triomphe et un toro a eu la Vuelta al Ruedo, « combien de piques ? » Rires dans l’assistance. Nous n’y étions pas, peu importe. Le hashtag #aficionalostoros sous une photo Instagram illustrant le sable peint m’a fait sourire. Dimanche après-midi depuis l’ombre les gradins du soleil semblaient déserts.
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L’éternité et Diego

Tudo era apenas uma brincadeira E foi crescendo, crescendo, me absorvendo E de repente eu me vi assim: completamente seu Vi a minha força amarrada no seu passo Vi que sem você não tem caminho, eu não me acho Vi um grande amor gritar dentro de mim Como eu sonhei um dia Une nuit, deux corridas à Bilbao et trois lignes pour mémoire. Si l’espace m’était compté, je ne parlerais que de Diego Urdiales, pharaoniq
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