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Laurent Larrieu

Un peu de campo

Une lectrice (fidèle, semble-t-il), très inquiète des derniers problèmes de santé de Campos y Ruedos (tout est rentré dans l’ordre), nous envoie cette photographie. Un peu de campo (même avec des biòus), en plein hiver, ne peut faire de mal à personne. Merci donc à Anne-Marie.
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (Préambule)

Le texte qui suit, et qui paraîtra sous forme de feuilleton ici même, est le fruit d’une rencontre entre deux êtres humains qui n’auraient jamais dû se rencontrer dans une vie « normale ». Dans une vie « normale », il est fortement déconseillé de réunir deux drogués sous le même toit de peur qu’ils ne se motivent pour replonger, ensemble, plus loin. C’est pourtant ce que la vie « normale » et
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XL)

La vie offre à chacun son lot de coïncidences bienheureuses, de hasard venu d’on ne sait où, de providence impénétrable. Chacun choisit ou croit, et pour cet homme qu’est Fernando Palha, croyant de tous les instants, se signant en démarrant la voiture, se signant en s’installant à table, se signant en revivant un pan de sa jeunesse, se signant en évoquant les amis partis trop tôt, il ne fait aucun doute que ‘Chinarra
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXXIX)

Néanmoins, le cas des Ribeiro Telles fut beaucoup plus courant que celui de Fernando Palha lors de la mise en place de la réforme agraire. Nombre de ganaderos se retrouvèrent sans terre ni bétail et dans l’incapacité de pouvoir réagir tant que la situation politique ne connaîtrait pas de vents contraires. Parmi tous ces ganaderos, c’est le cas singulier de l’élevage de Cabral de Ascensão qui nous intéresse. Fondée en
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Aucun bouquet ne vaut pour moi… (XXXVIII)

Nous avions laissé le Portugal au plus profond des soubresauts de la chute de la monarchie, en 1910. Au monarque orphelin succède une république qui n’a pas le temps de prendre racine dans ce pays tourneboulé par l’accélération de l’Histoire de ce début de XXe siècle, le retard économique et industriel, la montée en puissance des idées socialisantes, mais aussi de celles d’une droite conservatrice dont les grands pro
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