Florent Moreau vient de me le rappeler, la première corrida du Cura de Valverde combattue à Alès c’était il y a vingt-cinq ans, jour pour jour, le 13 mai 1990. C’était hier, vraiment hier. Départ de Nîmes, la route détrempée, la pluie, la lumière, ou plutôt la nuit en plein jour. Je me souviens très précisément de ces instants. Je n’ai pas vu les appels de phares de cet ami, persuadé que la course serait annulée, et
À « Agustínez », vous ne verrez qu’elle. Parce qu’elle est imposante, mais aussi parce qu’il n’y a qu’elle. Si vous connaissez les hauts pylônes de pierre élevés comme des pointes qui encadrent les entrées de deux des autres fincas de la casa, l’architecture de la récente placita de tienta de « Agustínez » ne vous surprendra pas. Le mélange de béton et de pierres y contraste avec la luxuriance du lieu où résident les
« En los toros, se habla de la muerte como un mal necesario. En la vida se habla de la muerte como un mal. La única verdad es que la muerte ocurre en el momento que deja de existir el aliento en el cuerpo, pero nadie sabe con absoluta certeza que ocurre cuando la muerte empieza. Les presento estas imagenes de la reaparición de José Tomás en Aguascalientes, México empezando con la imagen de la cabeza del cuerpo de un
On pense à quoi ? La nuit nous rattrape. C’était bien. Évidemment que c’était bien. Je me suis fait bouffer par les moustiques cette nuit. Et j’ai mal dormi sur ce matelas. Je vieillis. Comment peut-on vivre ici ? Trois maisons, deux églises… oubliées sur ce plateau ? Peut-être parce que c’est beau ? C’est beau ce plat, c’est vide et vert, et lisse. Fout le bourdon ce paysage. Per