Jérôme Pradet, actuellement en exil dans des terres lointaines où la tauromachie n’a laissé que peu de traces, nous prie instamment de publier ce texte et la vidéo qui l’accompagne. On ne va pas chinoiser, et même si vous ne comprenez pas tout à la langue de Chicuelo, vous pourrez toujours vous référer aux images d’ambiance ! ¡Siempre de frente! — ¡Todos por igual, valientes! — ¡Al cielo con ella! —
Les arènes Maurice-Lauche d’Aire-sur-l’Adour proposent cette année, par l’entremise d’une commission taurine enfin seule aux commandes, un programme ganadero de haute volée, pour ne pas écrire le meilleur du Sud-Ouest. En guise d’apéritif et en attendant les Fraile de juin, les aficionados pourront se délecter de la novillada concours de Santa Coloma du 1er mai. Renseignements : Toros-ai
Antonio Purroy nous fait parvenir ce texte sur la nécessité de rendre au tercio de piques sa grandeur ; texte cosigné par d’illustres noms de la tauromachie. « Pourquoi la phase des piques est-elle défectueuse ? C’est une question que se posent beaucoup d’aficionados. Et depuis quand en est-il ainsi ? Il faudrait sans doute revenir à l’époque où le caparaçon n’existait pas, autrement dit à une époque antérieure
Nous poursuivons nos échanges sur le toro de lidia avec Antonio Purroy. Cette fois, nous lui avons demandé s’il percevait lui aussi — à l’image d’autres aficionados — la dichotomie qui existait entre la variété annoncée par plusieurs études, dont celle du docteur Cañón, du nombre d’encastes (pas moins de 28) et la réalité de ce qui était présenté dans les ruedos au fil des temporadas. Para hab