La corrida de Victorino Martin mérite-t-elle de passer un week-end entier à Madrid sans plus de toros à se mettre sous la dent que ceux épointés du rejón ? Un week-end pour une corrida, c’est finalement l’anti-feria française, stakhanoviste et sans répit, l’occasion rêvée de se coucher tôt une fois, faire une sieste et visiter l’exposition Brassaï sur le Paseo de Recoletos. San Isidro clôturai
Lorsque l’on passe une semaine à voir des Toros à Madrid, la grande question est « va-t-on voir quelque chose ? » À ce titre il y eut des années fastes et des semaines mornes, la San Isidro qui s’achève sera à classer dans le grand néant de l’entre-deux, même s’il y eut de l’intérêt dans la plupart des courses de la semaine. L’immense satisfaction réside probablement dans le fait q
Épisode IV : Ganadería Sobral (encaste Cebada Gago et Marques de Domecq) / Herdade Barbas de Lebre, Baleizão (Beja). Pour saisir le comment de cette récente ganadería portant elle aussi le patronyme de Sobral — Passanha Sobral au Portugal —, il est nécessaire de traverser la frontière et d’emprunter la ruta de la plata qui plonge au sud vers Séville puis vers les terres sèches et poussiéreuses du campo de Jerez de la
Le quartier de Lavapiès est un quartier populaire de Madrid dont mon pote Ugo se plait à dire qu’il est encore assez mal fréquenté pour y éprouver quelques frissons à certaines heures de la nuit, mais pas assez pour y risquer grand chose. Nicolas Rivière vient d’y faire quelques haltes. Sur les pavés disjoints d’une rue à sens unique, une fois achevée l’ascension des escaliers de la station Lavapiès, il s