Querido Emilio, Según tus comentarios y juicios sobre la corrida de Dolores Aguirre (Las Ventas 27 de mayo de 2018), los toros de esa ganadería eran unas reses impropias del toreo moderno y bonito. En una palabra : Eran bueyes. Bueyes de otros tiempos que no tenían nada que ver con lo que debe ser un Toro de lidia. Y eran tan malos que ni Joselito El Gallo hubiera podido con ellos, según has dicho. ¡ Ni Gallito ! Me
Dimanche 27 mai 2018 – Madrid 6 toros de Dolores Aguirre Ybarra (Atanasio Fernández/Conde de la Corte) pour Ruben Pinar, JC Venegas, Gomez del Pilar. L’aéroport de Barajas grouillait de Madridistes plus très frais arrivant de Kiev où le Real Madrid venait d’emporter la treizième Ligue des Champions de son histoire. Dans la rue Echegaray, le passage des services de la ville n’avait pas totaleme
Le monde ultraconnecté et dématérialisé n’est finalement pas adapté à la corrida. Elle est matière première autant qu’œuvre d’art, elle a ses odeurs, ses sons, ses cris, ses souffles, son rythme, ses saccades et ses emportements qui, tous, ensemble ou entrepris indépendamment les uns des autres, dressent le tableau de maître d’un univers palpable mais mystérieux, acéré, réel, instantané, sentimental mais pour autant
Ce texte initie une série qui sera consacrée à quelques élevages portugais que votre serviteur, accompagné d’amis très chers, a eu le bonheur de découvrir ou de redécouvrir. Si je ne veux évidemment oublier ni froisser personne, qu’on ne m’en veuille pas de dédier cette série de textes à un autre amoureux du campo portugais, assez fou et intoxiqué pour avoir, des jours durant, des mois durant, fait