Le samedi 15 juillet 2017, depuis le grill en béton des arènes de Céret, l’afición a pu voir défiler une novillada de Raso de Portillo, dure, encastée et allant « a más » tant au niveau trapío que du comportement. Elle fut aussi l’occasion de s’émouvoir face à l’engagement de Maxime Solera qui faisait ici son troisième paseo en novillada piquée. C’est très peu pour affronter ce genre de bétail qui ne pardonne guère.
On en trouvait un dans tous les villages, autrefois. C’était le pec du bled qui faisait partie du décorum rural au même titre que le champ de maïs l’été, les quinze blondes d’Aquitaine, le clapier à lapins, les cacas de poule ou le vieux tracteur rouillé qui pétait toujours au premier coup. On disait aux enfants : il est pec et les enfants en avaient peur mais en riaient. C’était le pec et point et personne ne s’enco
Au coeur de la fournaise des Fêtes de la Madeleine 2017, la Peña A Los Toros de Mont de Marsan propose à l’aficionado (et aux autres) une belle initiative pour rendre hommage au matador de toros français Nimeño II (on fête cette année ses 40 ans d’alternative) qui fit le paséo au Plumaçon de 1976 à 1989 : il s’agit d’une exposition de toutes les couvertures de la revue Toros consacrées à Nimeñ
… à l’usage de nos amis Cérétans – Un lot entier de Yonnet – Un festival de sardanes – Un concours de pétanque – Un verre de l’amitié avec buffet gersois – Une dégustation de couilles de toros poêlées et triées par encaste – Une teinture de Manolo Moles – Un concert de Tigran Hamasyan – Un concert de Al Chemist… vraiment pour faire local – Une co
Vincent Pousson aime la corrida, et le vin, entre autres choses. Il vient de publier ce qui suit. Le pinot noir, c’est comme la corrida. Un jour dans ta vie, tu en vois une exceptionnelle. Peut-être même ne l’était-elle pas, mais les circonstances, l’ambiance, la compagnie, le repas de midi… Imaginez, tout coule de source. On pense à la perfection, à la lumière, à la magie. En tauromachie, on invoq