En corrida, l’adage dit que la main gauche qui tue et non la droite. Sans cette conduite de bâbord qui guide la tête du toro, il ne fait pas de doute que la mise à mort serait ou impossible ou la scène récurrente de dépeçages meurtriers parce qu’un un toro ça fonce droit. Une vache aussi ! Mais en course landaise, les vaches ne sont pas mises à mort. Elles sont trompées. On les feinte, on les écarte, on les fait veni
Dimanche 23 juillet 2017 – Orthez 4 novillos de Valverde (novillada piquée) pour Tio García et Baptiste Cissé et 6 toros de Valverde pour Octavio Chacón, Tomás Campos et Manolo Vanegas. À 21 h, car les courses de toros durent maintenant trois heures en France, public et aficionados a los toros quittaient les travées du Pesqué sourire aux lèvres, mouchoirs usés et la panse à souvenirs copieusement remplie. La corrida
Nous avons vu que les raies règlementant le premier tercio ont été tracées pour la première fois en 1908 à Zaragoza. Nicéphore Niépce quant à lui a inventé la photographie en 1826 à Chalon sur Saône mais il fallut un certain temps avant de parvenir à une vitesse d’obturation suffisante pour figer un minimum les mouvements. Ce sera l’apport suivant, celui de Louis Daguerre. Nous sommes en 1839 avec l’invention du dagu
Sur cette photo prise à Nîmes il y a bien longtemps vous ne verrez pas les raies blanches qui rendent tous les publics hystériques dès lors qu’un picador ose les franchir de quelques centimètres. C’est qu’elles n’ont pas toujours existé. Il n’y eut d’abord qu’une seule raie destinée à éloigner les picadors de la protection relative de la proximité des barrières. La première raie fut tracée pour la première fois le 18