logo

Tag

Frédéric Bartholin

C’est un monde !

C’est un monde ! De mémoire (faillible) d’aficionado et lecteur il me semble bien que nul subalterne n’avait encore franchi le pas de la banderille à la plume. Alors même que les ouvrages de témoins « embedded » dans des coches de toreros ne manquent pas (Jean Cau, Josephine Douet, Jean-Michel Mariou…), les membres de la cuadrilla restent les grands muets de la chose taurine. Maxime Ducasse concède
Lire la suite

Era noche de Santiago

Tudo era apenas uma brincadeira E foi crescendo, crescendo, me absorvendo E de repente eu me vi assim completamente seu Vi a minha força amarrada no seu passo Vi que sem você não há caminho, eu não me acho Vi um grande amor gritar dentro de mim Como eu sonhei um dia Les hasards sont parfois heureux. Nulle surprise à l’heure de la revente à la découpe de l’abono de la San Isidro 2023 que les places pour la course de S
Lire la suite

Tous ces amours de courte haleine

Tous ces amours de courte haleine embellissaient nos vies, d’un éclat mauve de bruyère, au Mont sans souci Nous nous fréquentions de loin en loin, quand cela tombait. J’avais voulu être proche, j’aurais voulu l’être, j’aimais bien le « personnage » sans trop savoir ce qui tenait de la construction artificielle mais campagnarde destinée à vendre du vinyle (entendez du marketing) et de la
Lire la suite

Juli Maravilha

D’après des sources invérifiées, Nicoletta est donc malade, mais avant-hier c’est Rita Lee qui a cédé face au crabe. Triste nouvelle, sa période « Os Mutantes », assez chabraque ; m’a toujours semblé une merveille de liberté créative, d’essais en tout genre, avec ce talent brésilien pour dévorer les influences étrangères pour mieux les régurgiter ensuite. Rendre au centuple à la grande Nature disait l’autre en digres
Lire la suite

Reta ou le cancer de Nicoletta

Scène  1 La scène se déroule sur la terrasse d’un bar taurin en face d’une arène de capitale inconnue, un certain dimanche, un certain matin, incertain mois de mai. Un banderillero présente un aficionado à un groupe de taurinos et disparaît au bar pour commander quelques cafés. Happé par des connaissances, absorbé par le milieu, il ne revient pas en scène. L’apoderado : Oh t’y es Français !? d’où tu connais R ? L’afi
Lire la suite