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Frédéric Bartholin

Polyptyque primitif : Saltillo ou Le jardin des supplices

Dans la ménagerie infâme de nos vices, Il en est un de plus laid, plus méchant, plus immonde ! Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait volontiers de la terre un débris Et dans un bâillement avalerait le monde ;  C’est l’Ennui ! Pour le dire d’emblée et sans nuance, la course de Saltillo (devise et fers de Moreno Silva cette année encore) fut dans l’ensemble une man
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¡ Mata ya la mierda esa !

Vendredi 27 mai : « Si j’étais Dieu, en les voyant prier je crois Que je perdrais la foi ! » Corrida de El Pilar, le Domecq (Aldeanueva) salmantin tout rouge qui a essaimé du côté de Pedraza de Yeltes, pour El Fandi, David Mora, Lopez Simon. Passons vite sur la course, qui une fois de plus a conjugué la faiblesse à l’absence de caste. Le premier, manso perdido, prit une ration de refilones et courut parto
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¡ De pesadilla te digo !

Mercredi 25 Mai Dire que le renvoi du lot de Jandilla plongea l’assistance dans les sables mouvants de la détresse, un océan de chagrin et un abîme de déception serait probablement exagéré. Dire que l’annonce d’un lot de Vellosino en remplacement nous donnait du baume au cœur tout autant… Les figures revenaient et une partie du public les accusait de malversations : au paséo, palmas de protest
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¡ De pelicula te digo !

A l’heure de choisir les dates pour séjourner à Madrid, le cœur balançait entre la fidélité à la « semaine toriste » et la tentation de décaler après le désastre de l’an dernier. Après la publication des cartels, la décision fut de couper la poire en deux et commencer la semaine précédente pour voir pêle-mêle Urdiales, les jeunes, la finale de la Ligue des Champions quelque part un soir de tiercé… M
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En passant par la Gascogne avec mes sabots

Le week end de Pentecôte a ceci de commun avec un toro encasté et mobile qu’il est prometteur mais a tendance à vous déborder si jamais vous n’écrivez pas à temps… Evidemment, à l’heure d’aller voir des cornus, l’univers à l’heure de la célébration de la langue de feu de l’Esprit Saint se résume à deux possibilités : Vic et Madrid. Va pour Vic-Fezensac, le Gers toscan et les amis trop rares (même si certains encore p
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