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José Angulo

Santa Sevilla

Jérôme Pradet, actuellement en exil dans des terres lointaines où la tauromachie n’a laissé que peu de traces, nous prie instamment de publier ce texte et la vidéo qui l’accompagne. On ne va pas chinoiser, et même si vous ne comprenez pas tout à la langue de Chicuelo, vous pourrez toujours vous référer aux images d’ambiance ! ¡Siempre de frente! — ¡Todos por igual, valientes! — ¡Al cielo con ella! —
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Confusionnisme

En ces temps bouleversés où les astres déboussolés s’agitent en tous sens, provoquant la convergence de phénomènes aussi étranges que mystérieux, une éclipse solaire, une super lune et un équinoxe de printemps ultradébordant, le tout en quelques heures seulement, on peut craindre que les esprits les plus dévots de la constellation du Toro ne sombrent à leur tour dans les ténèbres de l’ignorance. Heureusem
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Histoires extraordinaires et pittoresques des corridas du temps jadis (II)

Aujourd’hui, un président inflexible L’action se déroule dans les arènes de Jaén, à la fin du XIXe, ou au tout début du XXe siècle, à l’occasion d’une novillada piquée pour le moins mouvementée. Le conseiller municipal et futur maire de la ville, Manuel A. Suca, présidait la course. C’était un homme autoritaire dont la réputation n’était plus à faire, mais c’était aussi un grand co
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Encierro

C’est certainement l’instant le plus attendu des fêtes de Ciudad Rodrigo, le plus intense et le plus émouvant sans doute. Le moment cent fois rêvé, cent fois espéré, qui sera, plus tard, cent fois raconté. C’est le moment qu’aucun ne voudrait rater… pour rien au monde ! Pourquoi ? Pourquoi y aller ? Pourquoi y retourner encore ? À quoi bon ? Simplement parce que Ciudad Rodrigo se rappelle cet
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Histoires extraordinaires et pittoresques des corridas du temps jadis (I)

Aujourd’hui, le chien Paco Dans le petit monde pittoresque de la tauromachie madrilène, le chien Paco fut l’un des personnages les plus illustres et les plus célèbres des années 1880. Son maître, le cocher de la diligence qui effectuait le trajet Colmenar – Chinchón, l’avait appelé Paco en hommage au peón Paco Frascuelo, dont il était grand admirateur et ami. Accessoirement, précisons que les frères
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