À la fin des années 1950, ce sont donc ces cinq vaches qui portent en elles toute cette histoire d’un élevage aujourd’hui disparu, histoire aux atours de dédale, complexe, touffue et porteuse de secrets, évidemment, heureusement, comme seul le campo bravo est encore capable d’en conserver dans l’apparente et lisse transparence qu’impose notre temps. Ce sont ces cinq vaches Branco Teixeira, dont l’une était chorreada
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