Les arènes aux réputations excessives, aux mouvements incandescents, sont des points de ralliement, des ports d’attache où le ressac de cette passion incompréhensible finit quoi qu’il arrive par nous jeter. Céret, depuis trois décennies, cultive dans un désir consenti cette attractivité, son besoin presque pathologique d’aller chercher, toucher, triturer ce « point de tangence », cet état quasi cosm
Lire la suite