De la mondialisation de l’acte gratuit ou presque. Sur l’affiche point de photo, point de toro, point de bull. Uniquement des recommandations que l’on pourrait conseiller aux coureurs des rues de la capitale navarraise dont la plus évidente — mais qui n’est malheureusement pas toujours respectée — est ce « Do not touch the bulls » ! Sauf qu’ici les bulls sont des gonzesses en patins à ro
« Pampelune, 14 juillet Chère Maman, cher Papa, Voici la dernière corrida terminée avec une très bonne “actuación” de Dámaso González : 2 oreilles et 2 oreilles et la queue. La corrida du 11 a été très bonne aussi avec González et Paquirri. Médiocre le 12, presque mauvais le 13. Toujours autant d’ambiance et beaucoup de viande saoule le soir dans les rues. J’ai bien eu votre lettre à saint Vincent, Mme et
Le 26 décembre, on dit logiquement « c’était Noël », comme depuis plusieurs années on dit « c’était Jérôme » — logique aussi. C’était Noël, hier, et j’étais un peu occupé pour vous écrire, hier… Comme le veut la saison, et en prévision du calendrier que ne manquera pas d’essayer de vous refourguer votre facteur — celui qui sonne pour le calendrier, mais pas pour les Chronospost le samedi
C’était il n’y a pas loin d’un an maintenant. La veille au soir, sous la douceur rougie du soleil couchant, nous étions venus jeter un coup d’œil, et un vaquero — qui s’était présenté comme le mayoral de l’élevage — avait tout fait pour nous décourager de revenir. Peu de toros, pas grand-chose à voir ! Nous étions revenus le lendemain, forts d’un coup de téléphone au tenancier du lieu ; don Mariano Sanz Giménez et le
Il n’y a pas de mots qui viennent, rien qui ne sorte. C’est trop inattendu. Alors rien, sauf une immense tristesse. Il y a peu, un ami proche a perdu sa mère. Je lui ai juste écrit que dans ces cas-là il n’y a rien de bien intelligent à dire, mais que je pensais à lui, et c’était tout. Joaquín Monfil était un type bien, voix caverneuse et assurée, posée, carrure imposante, moustache très gauloise, mais aussi et surto