Mercredi 14 août 2019. Bayonne Seul contre six de Daniel Luque. Texte et photo signés de notre ami François Sourbié, autrefois (toujours peut-être ?) surnommé ‘El Tito’. Merci à lui Je n’ai jamais été fan de Daniel Luque. Je l’ai vu quelques fois du temps de sa (notre) jeunesse, et il ne m’avait à vrai dire jamais fait vibrer. Quand j’ai découvert l’annonce des cartels de Bayonne au travers sans doute d’u
Dimanche 11 août 2019. Parentis-en-Born 6 novillos de Raso de Portillo, Prieto de la Cal, Valdellán, Pablo Mayoral, Los Maños et Raso de Portillo (remplaçait un Tabernero de Vilvis) pour Juan Carlos Carballo, José Cabrera et Cristabal Reyes. En rentrant je me demandais ce qu’il serait intéressant d’écrire sur cette novillada du centenaire de Parentis. Il était difficile de passer sous silence le très bon novillo de L
Endogalador. C’est la fonction qui figure sur le laissez -passer que me tend Paco et qu’il ne prend pas le risque de prononcer. Endogalador, cinq syllabes, un joli mot pas simple à mémoriser et dont il est facile de mélanger les voyelles ou d’inverser les consonnes. Endogalador ne figure pas dans le dictionnaire de la Real Academia Española alors qu’on le trouve dans le dictionnaire catalan. La racine du mot es
Le numéro 90 de juillet 2019 des Analectes de Campos y Ruedos est à la disposition des abonnés via un mail qui leur sera envoyé aujourd’hui ou demain. Au sommaire de ce numéro : du Boujan, du Céret, un peu d’Orthez, un zeste de Pamplona et une goutte de Beaucaire. Du Joaquín Vidal aussi et des photographies Celles et ceux qui souhaiteraient s’abonner pour recevoir les PDF des Analectes de Campos y R
Mon cher ami, Je te prie de bien vouloir me pardonner de t’écrire à l’aide d’un papier carbone mais vois-tu tu n’étais pas seul à manquer à l’appel sous les frondaisons des platanes immenses tamisant la lumière d’un été encore tenace. Nous n’avons pas encore passé la moitié des vacances scolaires si mes comptes sont bons et les jours tiennent bon encore tard. Dans notre conce