Parfois on se fait avoir. Un brin complice, c’est ainsi et cela fait plaisir aux copains narquois. À la publication des cartels, on ne pouvait que saluer l’initiative de l’empresa de ne pas contribuer à l’inflation de l’immobilier arlésien après avoir fignolé un machin aux petits oignons, à base de Ponce, de Garcigrande, de retour que t’y crois pas et pour tout argument vaguement s
Marseille vient d’offrir une rétrospective du travail de Sophie Calle en cinq expositions disséminées dans la ville. L’occasion de découvrir ou redécouvrir le travail de celle que Télérama définit comme une exhibitionniste, provocatrice et impudique artiste plasticienne, qui consacre sa vie à la mettre en scène. Dans la multitude des objets et oeuvres exposés on aura pu croiser José Tomás, Jean Lafont, Manolo Montoli
Après le décès de Jean Lafont nous avions partagé ici l’hommage génial que lui rendit Jacques Durand : Mort d’un Dandy. Il faut dire qu’il n’y avait guère que Jacques pour être à la hauteur de la personnalité du disparu. Un peu plus d’un an après, les éditions Atelier Baie viennent de publier «Jean Lafont» un ouvrage en forme de malle aux souvenirs. Cette malle ne contient pas, comme celle de Pessoa, quelque hé
Le type, le gamin même, s’appelle Juan. Comme Juan Belmonte. Il s’appelle aussi Branco. Comme Paulo Branco le producteur de films. Celui qui a bien failli tuer Don Quijote. Ça tombe bien Juan est le fils de Paulo. Juan Branco tiene un par. Il en a une paire. Ou alors il est dingue, illuminé. A moins que, comme s’est écriée Arlette en pleine conférence : Mais ce type c’est Jésus Christ ! – Arlette, ce type c’est
Pour tous les abonnés, vous recevrez dès demain le mail de téléchargement des Analectes de Campos y Ruedos n° 88. On sort lentement de l’hiver… Pour les autres qui désireraient s’abonner aux Analectes de Campos y Ruedos, il vous suffit de nous envoyer un mail à : contact@camposyruedos.com ou camposruedos@gmail.com