Morgan Mirocolo est photographe, du pays des biou. Il publie régulièrement des portfolios consacrés à la bouvine. Un travail qui vaut le détour et le coup d’oeil, une sorte d’analectes camarguaises. C’est gratuit et pour les recevoir il suffit d’adresser un mail à leur auteur : morgan.mirocolo@icloud.com Une très jolie réalisation à consommer sans aucune modération.
Suite à la publication de notre texte intitulé « Toros muertos« , nous avons reçu divers messages privés et commentaires dont certains éclairent mieux le sujet ou l’approfondissent voire corrigent certaines de nos phrases. Il aurait été dommage et même injuste que ces réactions restent anonymes ou perdues au tréfonds des commentaires du site. C’est tout d’abord un lecteur qui réagit via Facebook pou
La lame vient de sectionner la moelle épinière du toro. A ce millième de seconde, précisément là, la vie s’arrête. Instants décisifs, fragments d’absolu avant l’inconnu. L’immense carcasse se contracte violemment, s’effondre, lourde, sur le sable, c’est le soldat républicain de Capa qui bascule dans la poussière et le néant. Mort. Que la bête meure. Car à la fin elle meurt. La vie
Vous êtes (résident) Parisien, aficionado, déprimé par l’automne qui pointe son nez et achevé par les rayons taurins faméliques des librairies espagnoles lors de vos derniers voyages ? Vous attendiez depuis longtemps la sortie de ce bouquin sur Bastonito et Rincón ? Les formulaires de commande auprès de l’éditeur vous fatiguent, la cartouche de l’imprimante est vide, la poste ferme trop tôt, le chéquier doit bien êtr
Gilles Cattiau était photographe. Il collabora notamment à la Revue Toros, mais nous ne nous sommes jamais croisés. Cattiau faisait partie de ces photographes d’avant la génération de la photographie parkinsonienne. Je conserverai de lui cet hommage qu’il rendit à César Rincón dans son ouvrage «Le voyageur de San Jude» publié en 1993 par les éditions Lacoste.