Il y a quelques années, Campos y Ruedos avait présenté la très belle série photographique de Carlos Cazalis consacrée au forcados sur sa page « Invités« . Au détour d’errements 2.0 à la recherche de documents sur ces « toureiros de forcado« , nous sommes aujourd’hui heureux que le hasard ait conduit sur les routes de nos divagations le travail photographique du Portugais Eduardo Leal dont une série est co
Si le toreo espagnol a pour horizon l’esthétisme, celui du forcado portugais demeure à jamais, depuis jadis et pour toujours, un énorme toro noir. Les arts tauromachiques ont emprunté des destins bien différents pour être ce qu’ils sont et les chemins de traverse de l’histoire, l’âme des peuples, les aléas du temps ont modelé le panorama taurin protéiforme de notre époque. À chacun ses utopies, ses tropis
Le toreo est un rêve, un rêve à réaliser et accomplir de façon tangible bien qu’ephemere. Un rêve universel réunissant en son sein aficionados et toreros. Un rêve perpétuel devenant parfois une réalité fugace autant qu’une certitude inébranlable. Le toreo est un exemple, une science autant qu’une magie, une sorcellerie, un songe, un symbole, une quête hasardeuse qui ne doit pourtant rien au hasard.
Mercredi 07 juin 2017 – Madrid 5 toros de Rehuelga (Santa Coloma) et 1 de San Martín (Santa Coloma) pour Fernando Robleño, Alberto Aguilar et Pérez Mota. Les toreros des années 1960 – 70 lors de conférences en des temps plus modernes parlaient souvent ainsi de l’évolution du toro de Lidia : » à notre époque il suffisait de citer une fois pour que le toro viennent trois fois, aujourd’hui il faut le